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Collectif de la société civile québécoise au Forum social mondial 2015

Tunis – 24- 28 mars 2015

UNIAlter et les Initiatives internationales des YMCA du Québec joignent leur savoir- faire pour vous permettre de participer activement au prochain Forum social mondial (FSM) qui se tiendra en Tunisie, du 24 au 28 mars 2015.

Depuis plusieurs années déjà, des groupes d’etudiant- e- s et des membres de la société civile s’organisent en délégations afin de participer à différentes rencontres internationales comme les forums sociaux mondiaux ou les grandes conférences internationales. Depuis 2008, UNIAlter et le YMCA ont organisé six

Collectifs de la société civile québécoise

afin de participer à ces événements internationaux de grande ampleur, notamment au Forum social des Amériques de Guatemala- City en octobre 2008 (40 participant- e- s), au FSM de Belém (Amazonie brésilienne) en janvier 2009 (80 participant- e- s), au FSM de Dakar (Sénégal) en février 2011 (75 participant- e- s), au Sommet des peuples de Rio+20, qui s’est tenu en marge de la Conférence des Nations Unies pour le developpement durable en juin 2012 (77 participant- e- s), au FSM de Tunis en mars 2013, (78 participante- s) et au FSM- Paix de Sarajevo (BosnieHerzégovine) en juin 2014 (35 participant- e- s).

Pour le FSM 2015, nous souhaitons, une fois de plus, vous faire profiter de notre expérience pour vous permettre de participer dans les meilleures conditions à ce grand rassemblement de la société civile mondiale. Ce projet de collectif se décline en trois volets :

Une série de 5 formations pre- départ pour vous familiariser avec les enjeux du FSM (novembre 2014- mars 2015) ;

Une participation active au FSM (24- 28 mars 2015) ;

Un engagement au retour dans des activités de sensibilisation et de partage d’expériences (printemps/été 2015).

Grâce à ce partenariat stimulant entre la société civile et l’université, l’opportunité est offerte à des etudiant- e- s et plus largement à des citoyen- ne- s de vivre pleinement une expérience internationale de grande ampleur dans une perspective d’engagement social.

UNI- Alter Savoir pour changer Un partenariat unique entre l’université et la société civile!

  • 1. L’association logique de deux organisations qui reconnaissent la nécessité de conjuguer la réflexion et l’engagement social, la théorie et la pratique ;
  • 2. Pour comprendre la pertinence et l’importance des forums sociaux comme espaces d’échanges, de solidarité et de transformation sociale ;
  • 3. Participer à une délégation de 60 personnes en profitant de l’expertise et du réseau des accompagnateurs ;
  • 4. Saisir les enjeux du FSM 2015 en bénéficiant d’un cycle de formations pré-départ de qualité ;
  • 5. Participer activement au FSM en organisant des ateliers ;
  • 6. Partager son expérience avec sa communauté par de multiples activités de sensibilisation ;
  • 7. Se constituer un réseau actif de personnes et d’organisations qui partagent vos valeurs et votre aspiration au changement.

FSM 2015 : Du printemps arabe au printemps global !

Du 24 au 28 mars 2015, se tiendra à Tunis le 11ème Forum social mondial (FSM). Le choix de tenir le prochain FSM au Maghreb en général, et en Tunisie en particulier, n’est pas anodin.

Nous sommes ici au berceau du printemps arabe de 2011 avec sa révolution du jasmin. Pour les organisations de la société civile qui souhaitent construire un monde de solidarité, les valeurs de dignité et de liberté exprimées par le peuple tunisien, et les peuples arabes en général lors des récentes révolutions, sont un acquis pour l’humanité et constituent aujourd’hui une référence pour tous les peuples du monde.

C’est cette dynamique de changement social que le FSM veut renforcer en se tenant en Tunisie, pour ensuite la stimuler partout sur la planète.

Au cours de l’année 2011, nous avons été témoins de trois évènements majeurs dans le monde : les révoltes dans la région du Maghreb et du Machrek, le mouvement des indignés en Europe et les mouvements d’occupation aux Etats- Unis Occupy Wall Street, qui se sont ensuite propagés dans d’autres pays.

C’est un changement significatif dans la conjoncture mondiale, car bien que la crise financière et économique de 2008 ait démontré la fragilité de notre modèle économique dominant, elle n’avait pas abouti à une réaction sociale d’une telle ampleur.

Dans ce sens, les mesures économiques d’austérité récentes ont déclenché un processus de mobilisation sociale mondial pour lequel la Révolution du jasmin en Tunisie et le mouvement de la Place Tahrir (Égypte) ont été des précurseurs. Son élan d’occupation des espaces publics a été reproduit en Europe, aux Etats- Unis, à Montréal, dans le mouvement des étudiants chiliens, dans les manifestations contre les centrales nucléaires au Japon, dans le printemps érable de 2012 que nous avons vécu au Québec avec la crise étudiante...

Puis, cette forte mobilisation sociale s'est ensuite graduellement étendue au questionnement sur notre fonctionnement démocratique et a ouvert la voie à la recherche d’autres formes de démocratie et de prise de décision collective, de vivre ensemble.

Depuis 10 ans le FSM a permis aux mouvements sociaux de se structurer et de se renforcer, aux organisations d’échanger et de nouer des alliances, aux citoyens de prendre conscience des enjeux et de devenir des citoyens du monde socialement responsable et engagés dans leur communauté.

Grâce à tout cela, la mouvance altermondialiste, diversifiée à la fois dans ses composantes et ses stratégies d’action, a contribué à de nombreuses avancées.

La première fut l’affirmation légitime d’une critique de la mondialisation mercantile et strictement libre- échangiste. Cette critique a conduit au blocage de nombreux projets visant l’approfondissement des règles du libre- marché au détriment des questions sociales et environnementales (Accord multilatérale sur les investissements (AMI), Zone de libre- échange des Amériques (ZLEA), Constitution européenne, cycle de Doha à l’OMC).

La seconde avancée fut de rendre visible l’invisible en révélant les réseaux de pouvoir et d’influence qui permettent à l’élite mondiale d’imposer sa vision du monde centrée sur ses intérêts (Davos, le G8/G20…).

La troisième avancée réside dans la puissante vague des gouvernements progressistes qui a balayé les régimes neoliberaux du Sud des Amériques. Que ce soit au Brésil, en Bolivie, au Venezuela, en Équateur et ailleurs, de nouvelles politiques sont à l’oeuvre pour remettre l’État au service des citoyens, pour reconnecter les gouvernements et les mouvements sociaux.

La quatrième avancée, et non la moindre, c’est l’ancrage de la dynamique des forums sociaux en Afrique, au Machrek, contre l’application des mesures d’austérité néolibérales, le pillage des ressources, la logique de privatisation et la guerre.

Malgré ces importantes avancées, le processus du FSM, face aux crises multiples et à l’urgence d’agir, est lui- même traversé par un processus de questionnement sur ses propres approches, sur sa méthodologie, sur les résultats attendus par la grande majorité des milliers d’organisations impliquées dans la mouvance.

Il faut aller au- delà de l’annonce qu’« un autre monde est possible ». Il faut passer de l’opposition à la proposition, construire les solutions plutôt que dénoncer les problèmes, en somme matérialiser les initiatives alternatives pour un monde meilleur.

Rejoignez- nous pour un moment crucial dans la construction d’un autre monde !

FAITES PARTIE DE LA SOLUTION !

UNIAlter et l’altermondialisme

UNIAlter est une initiative locale autonome, résultat de l’alliance et du reseautage entre des professeurs d’universités canadiennes et des groupes de la société civile partageant les mêmes objectifs. Se présentant comme un collectif de recherche activiste altermondialiste,

UNIAlter réunit des professeurs et chercheurs universitaires (Université du Québec à Montréal, Université de Montréal, Université d’Ottawa) reliés à plusieurs organisations de la société civile, ainsi que de nombreux étudiantEs.

L’objectif du collectif UNIAlter consiste à rapprocher le milieu universitaire de la société civile, notamment en organisant des ateliers de recherche activiste et des délégations mixtes (étudiants/activistes) afin de participer aux différents forums sociaux à travers le monde.

S’inscrivant dans le prolongement du processus entamé par le collectif AlterUQAM en 2004, UNIAlter invite à pratiquer une recherche consistant à collecter de l’information sur la mouvance altermondialiste et sur les mouvements sociaux tout en participant activement aux forums sociaux et en y organisant des ateliers.

Il faut se rassembler et travailler ensemble si nous souhaitons bâtir un monde meilleur.

UNIAlter souhaite partager son expertise pour favoriser une participation du plus grand nombre aux mobilisations altermondialistes, car celles- ci sont de véritables laboratoires de transformation sociale et des lieux d’apprentissage et d’expérimentation de l’implication citoyenne.

Les YMCA du Québec – Initiatives internationales et forums sociaux

Organisme de bienfaisance profondément engagé dans sa communauté au Québec, Les YMCA du Québec est membre de l’Alliance mondiale des YMCA, un mouvement jeunesse international present dans plus de 130 pays.

Mettant à profit le partage des expériences solidaires de ses diverses associations à travers le monde, le YMCA contribue à l’éclosion d’une citoyenneté mondiale qui s’enracine effectivement dans un ancrage communautaire et se développe à travers un engagement de proximité.

Au Québec, plus de 150 000 personnes bénéficient annuellement de ses Initiatives internationales, communautaires, Enfance et jeunesse, Éducation et formation, Santé, Sports et loisirs et Dons et bénévolat.

Le YMCA incarne à merveille le slogan «penser global, agir local» qui anime la mouvance altermondialiste.

En organisant des collectifs dans les forums sociaux, le YMCA permet à des citoyen- ne- s qui souhaitent vivre l’expérience altermondialiste de developper une meilleure comprehension des problématiques globales pour ensuite s’engager concrètement ici pour le bien- être de leur communauté.

Organisation ÉQUIPE D’ACCOMPAGNEMENT

Caterina est coordonnatrice des Initiatives internationales des YMCA du Québec. Elle oeuvre à développer des relations de partenariat avec les YMCA à l’étranger (Équateur, Honduras, Nicaragua, Guatemala, Haïti), ainsi qu’avec les réseaux canadiens et québécois. Par ailleurs, elle est responsable des programmes d’éducation et d’engagement du public en solidarité internationale. Elle a participé à de nombreux forums sociaux (Quito 2004, Porto Alegre 2005, Caracas 2006, Nairobi 2007, Guatemala 2008, Belém 2009, Sarajevo 2014) et à plusieurs événements internationaux militants : Sommet des peuples (Québec 2001), Séminaire sur les transformations du capitalisme mondial et ses implications (Cuba 2003), Conférence internationale pour l’abolition des bases militaires étrangères (Équateur 2007), Sommet des peuples pour la justice sociale et environnementale et en défense des biens communs Rio+20 (2012). Ancienne membre du conseil d’administration du Comité pour la justice sociale de Montréal (2004- 2009) et de Cyclo Nord/Sud (2009- 2011). Italoquébécoise polyglotte (elle parle 5 langues) et mère de 3 enfants, elle est passionnée par la justice sociale… et les FSM !

Katina est engagée dans le réseau de la solidarité internationale depuis 17 ans. Elle a milité et travaillé de 1998 à 2010, au CRÉDIL, un organisme lanaudois de solidarité internationale, d'accueil et d'intégration de réfugiés où elle a été en charge pendant 8 ans des programmes d'éducation du public et des stages Québec sans frontières. Leur slogan a forgé ce qu’elle croit de l’implication à l’international : Comprendre ailleurs pour agir ici ! C’est pourquoi elle a choisi de s’impliquer depuis plus de 15 ans à la promotion du commerce équitable. Elle est présentement vice- présidente de l'Association québécoise du commerce équitable. Depuis 2011, Katina est chargée de programmes à l'Association québécoise des organismes de coopération internationale (AQOCI). Elle collabore à la co- gestion du programme Québec sans frontières avec le Ministère des relations internationales du Québec et est responsable du programme de formations. Elle a pris part à plusieurs collectifs comme participante ou accompagnatrice lors de Forums sociaux mondiaux (Bresil- 2005, Venezuela2006, Brésil thématique économie solidaire 2013, Sarajevo thématique paix 2014) et locaux (membre du comité initiateur du premier Forum social québécois 2007 et du premier Forum social lanaudois 2009) ainsi qu'aux Sommets des Ameriques et des Peuples (Québec 2001 et Argentine 2005) et au Sommet de la terre Rio +20 (2012).

Raphaël est professeur à l’École de développement international et mondialisation de l’Université d’Ottawa. Il est membre fondateur du collectif UNIAlter. Auteur de nombreuses publications sur la mouvance altermondialiste, il a participé à plusieurs forums sociaux mondiaux (Mumbai 2004, Porto Alegre 2005, Caracas 2006, Nairobi 2007, Belém 2009, Dakar 2011, Tunis 2013), ainsi qu’au premier Forum social méditerranéen (Barcelone- 2005) et au 3ème Forum social des Amériques (Guatemala 2008). Membre du secrétariat du Forum social québécois, il a contribué, depuis ses débuts, à l’organisation des FSQ. Chercheur universitaire, il étudie les mobilisations de la société civile globale afin d’humaniser la mondialisation et de démocratiser la gouvernance mondiale. Il a travaillé comme analyste au sein de l’Association québécoise des organismes de coopération internationale (AQOCI) et enseigne aussi au CEGEP du Vieux- Montréal. Il a récemment publié L’Altermondialisme, forums sociaux, résistance et nouvelle culture politique (2010) et Passer de la réflexion à l’action. Les grands enjeux de la coopération et de la solidarité internationale (2013).

Sonia est une militante et activiste des droits de l'homme diplômée de l'Université de Montréal en économie politique. Elle a vécu trois ans en Afrique de l'Ouest où elle a travaillé avec des organisations de la société civile dans le domaine des droits de l'homme ainsi qu'avec des médias communautaires nigériens et burkinabés. En 2010, elle co- fonde le Collectif Tunisien au Canada qui a mobilisé la diaspora tunisienne et alerté les médias canadiens sur la situation en Tunisie dès le début de la révolution. Le Collectif qu'elle préside a mené le gouvernement Canadien a adopter une législation visant à faciliter le gel des actifs des membres de régimes corrompus et de leurs proches ce qui lui valu, entre autres, une nomination parmi les cinq finalistes pour le Prix de la Personnalité Internationale de l'année du Centre d'étude en relation internationale de l'Université de Montréal (CÉRIUM) en 2011. Elle a participé, en 2011, à l'organisation des premières élections libres de l'histoire de la Tunisie en tant que membre de l'Instance Régionale Indépendante pour les Elections pour la circonscription des Amériques et le reste de l'Europe. Née au Québec de parents tunisiens, elle a contribué à un ouvrage consacré à l'islam au Québec dans l'après 11 septembre 2001. Sonia Djelidi est coordonnatrice des communications dans une organisation internationale d'aide humanitaire.

Widia est Anishnabe et militante féministe des causes autochtones. Elle est diplômée en Études internationales et langues modernes de l’Université Laval et en Immigration et relations interethniques de l’UQÀM. Depuis plusieurs années, elle s’engage pour les droits des peuples autochtones et s’implique dans diverses initiatives jeunesse. Elle occupe depuis 2009, le poste de coordonnatrice jeunesse chez Femmes Autochtones du Québec, une organisation qui milite pour les droits des femmes autochtones. Elle est également l'une des co- initiatrices de la mobilisation québécoise du mouvement de la base autochtone Idle No More. Elle a fait partie des délégations YMCA/UNIAlter à deux reprises : au Sommet des peuples de Rio+20 au Brésil en 2012 et au Forum social mondial en Tunisie en 2013.

Structure du projet et calendrier

L’ensemble du projet se déroule sur une période de plusieurs mois incluant les ateliers de préparation, le voyage en Tunisie et les activités au retour.

Nous recruterons 60 participant- e- s (en essayant de respecter une composition paritaire entre étudiant- e- s et membres de la société civile). Afin de permettre la participation du plus grand nombre, une équipe d’autofinancement, composée de participant- e- s volontaires du collectif sera constituée.

Cette équipe bénéficiera du soutien du comité de coordination pour sa quête de fonds afin de réduire les coûts de participation.

Nous mettrons aussi en place des équipes de programmation, pour ceux qui souhaite organiser des ateliers à Tunis, et de communication, pour ceux qui souhaiteront participer à la couverture médiatique de l’événement. Ces équipes se constitueront sur une base volontaire et visent à permettre une participation active au FSM. Les membres du comité de coordination seront là pour aider le travail de ces équipes.

1. Les formations pre- départ

5 journées de formation sur différents thèmes liés à l’expérience qu’ils vivront au FSM 2015 seront offertes aux participant- e- s. Cette série de formations leur permettra de mieux comprendre les enjeux du FSM 2015. Les ateliers auront lieu de novembre 2014 à mars 2015.

  • Atelier 1 : L’altermondialisme et la dynamique des forums sociaux mondiaux 01 Novembre 2014 (10h- 16h)
  • Atelier 2 : Les printemps arabes : bilan et perspectives 06 décembre 2014 (10h- 16h)
  • Atelier 3 : Les luttes sociales au Québec et au Canada 17 janvier 2015 (10h- 16h)
  • Atelier 4 : De la réflexion à l’action : changer le monde ? 07 février 2015 (10h- 16h)
  • Atelier 5 : Vivre le Forum / santé et sécurité / Les sujets chauds au FSM 07 mars 2015 (10h- 16h)

Plus de détails sur les conférenciers et la structure précise de chaque atelier sont à venir.

2. La participation au Forum social mondial en Tunisie, 24- 28 mars 2015.

Nous prévoyons un séjour sur place de 7 jours et 6 nuits (23- 28 mars), durant lequel nous participerons aux activités liées au forum. Durant le forum, les participants seront responsables de leurs choix et libres de participer ou non aux activités proposées.

Une rencontre d’orientation est prévue au début des activités ainsi qu’une rencontre- bilan à la fin du séjour. Chaque soir, un rassemblement informel sera proposé pour discuter et faire un retour sur la journée.

Par ailleurs, en marge du FSM, nous offrirons l’opportunité à nos participants de rencontrer des organisations locales et acteurs de la société civile qui œuvrent à la transformation de la société tunisienne. Plusieurs rencontres seront organisées à Tunis.

3. Les activités au retour

Les participant- e- s devront prendre part à une rencontre de rétroaction et d’évaluation et pourront aussi s’engager dans des activités de sensibilisation du public sur des enjeux abordés au FSM, en lien avec nos problématiques locales. Lors de la rencontre de rétroaction, nous voulons donner la possibilité aux participant- e- s de partager et d’échanger sur l’expérience qu’ils auront vécu et sur les transformations que l’ensemble de l’expérience aura peut- être suscitées chez eux tant au niveau personnel, professionnel que social.

Lors de cette rencontre, nous souhaitons aussi faire l’évaluation finale du projet. L’objectif des activités de sensibilisation et d’éducation du public organisées au retour par les participant- e- s est de partager l’ensemble des connaissances acquises avec ceux qui n’auront pas eu la chance de participer au FSM, de provoquer une réflexion commune et interactive sur les grands enjeux liés à la mondialisation, de prolonger au Québec le débat amorcé en Tunisie, de publiciser les actions concrètes qui seront mises de l’avant durant le FSM pour la construction de l’autre monde possible et de voir comment nous pouvons y participer ici, à notre échelle.

Outre la stimulation d’un réel engagement du public, la participation à ces activités se double d’une forte dimension pédagogique pour les étudiant- e- s invités à partager le fruit de leurs observations sur le terrain, le tout dans une approche d’expérimentation d’une recherche activiste. Par ailleurs, un outil de communication sera mis en place afin de permettre aux participants de témoigner de leur expérience durant et après l’événement.

Inclusions

L’accompagnement inclut : Organisation logistique Encadrement 5 formations pre- départ Hébergement (6 nuits) Rencontre retour Compensation carbone

L’accompagnement n’inclut pas : Billet d’avion(Vous devez vous procurer vous- même votre billet d’avion, mais nous offrons l’orientation vers une agence de voyage partenaire). Assurances /Vaccins Repas et déplacements en Tunisie Frais d’inscription au FSM Passeport valide

Coût de participation: 750$

Contacts : FSM at ymcaquebec.org